Peace
1. La paix
La sagesse et la vérité sont des conditions (et des circonstances) qui apparaissent lorsqu'une âme reçoit la paix. Cette paix est inhérente et toujours donnée à tous les êtres. Notre "aveuglement" dans la nuit de l'erreur nous amène seulement à faire l'expérience et à faire un choix. Cette possibilité de choix exige une différenciation et celle-ci exige à son tour une évaluation. Le ciel vit dans le monde de l'absolu, tandis que l'existence physique se manifeste dans le monde du relatif. Cette circonstance crée les tensions qui font que nos voyages semblent si précieux, et la beauté dans l'expression du mouvement. La paix - en particulier la paix de l'esprit - existe à la fois dans l'absolu et dans le relatif. Puissions-nous tous reconnaître notre lumière et comprendre la beauté de nos voyages. A travers ce qui nous a jeté dans cette existence - la recherche de l'expérience...
2. Le pardon
L'inimitié est alors surmontée en nous lorsque nous reconnaissons tous que nous sommes frères et sœurs dans le ciel. Cette reconnaissance inclut la pensée et le sentiment du pardon. Nous avons tous du mal à nous pardonner les uns les autres tant que nous ne pouvons pas nous pardonner à nous-mêmes. Cette "culpabilité" s'est développée dans notre tradition de nous considérer comme des êtres inachevés, imparfaits et impies. Notre capacité, donnée par Dieu, de juger et d'évaluer conditionne le motif de l'évaluation.
L'évaluation, quant à elle, classifie et, par conséquent, restreint notre façon de penser, de vouloir et d'agir.
La paix naît en nous lorsque nous - en vertu de notre connaissance - vivons l'amour. Et cela signifie avant tout s'accepter tel que l'on est : Un être de lumière - sans erreur, mais sujet à l'erreur. Ces erreurs sont précieuses et en même temps très bien nées, car elles seules déterminent la croissance et la "maturation" de chaque âme.
Si Dieu avait voulu que nous nous comprenions comme "parfaits" à chaque instant, il n'aurait pas créé la possibilité de l'erreur. C'est l'erreur qui permet à l'âme de mûrir et de se connaître. Nous ne devons donc pas avoir peur de pouvoir nous "tromper", car cela signifierait que nous enlèverions à notre âme la possibilité de mûrir et de "grandir". Au contraire, nous pouvons profiter de nos voyages et apprendre des expériences des autres et des nôtres.
L'inimitié est alors surmontée en nous lorsque nous reconnaissons tous que nous sommes frères et sœurs au ciel. Cette reconnaissance inclut la pensée et le sentiment du pardon. Nous avons tous du mal à nous pardonner les uns les autres tant que nous ne pouvons pas nous pardonner à nous-mêmes. Cette "culpabilité" s'est développée dans notre tradition de nous considérer comme des êtres inachevés, imparfaits et impies. Notre capacité, donnée par Dieu, de juger et d'évaluer conditionne le motif de l'évaluation.Or, l'évaluation classifie et, par conséquent, restreint notre façon de penser, de vouloir et d'agir.La paix naît en nous lorsque nous - en vertu de notre connaissance - vivons l'amour. Et cela signifie avant tout s'accepter tel que l'on est : Un être de lumière - sans erreur, mais sujet à l'erreur. Ces erreurs sont précieuses et en même temps très bien nées, car elles seules déterminent la croissance et la "maturation" de chaque âme.Si Dieu avait voulu que nous nous comprenions comme "parfaits" à chaque instant, il n'aurait pas créé la possibilité de l'erreur. C'est l'erreur qui permet à l'âme de mûrir et de se connaître. Nous ne devons donc pas avoir peur de pouvoir nous "tromper", car cela signifierait que nous enlèverions à notre âme la possibilité de mûrir et de "grandir". Au contraire, nous pouvons profiter de nos voyages et apprendre des expériences des autres et des nôtres.Si nous vivons dans cette foi, nous serons récompensés par la paix.
